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Il y a 28 messages
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message : 28
Posté le : 06/04/2015 à 22:20, par : Vaselir
[4]  E-mail : apollo2(a)gmail.com  URL : http://iryygvepxcalinjqv
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message : 27
Posté le : 06/04/2015 à 22:19, par : Vaselir
[4]  E-mail : apollo2(a)gmail.com  URL : http://iryygvepxcalinjqv
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message : 26
Posté le : 12/03/2015 à 08:04, par : Ñ Ð» Ð´Ð¶ÐµÐ¹Ð¼Ñ ÐºÐ½Ð¸Ð³Ð¸
[67]  E-mail : dfauiodngfui1(a)jnuybu.co.uk  URL : http://link
Where to get yourself the same?,

message : 25
Posté le : 09/03/2015 à 07:11, par : онлайн ключи eset n
[1]  E-mail : yugbuybiuna(a)oklpokji.net  URL : http://link
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message : 24
Posté le : 12/05/2010 à 00:33, par : v.wo
[Guadeloupe]  E-mail : nickybib(a)live.fr
Bonsoir,

une pensée pour tous ceux qui savent voir, comprendre, s' engager sans imposer.
Je suis la petite soeur de "La Miche" Milly comédienne, moi même.
Le festival de théâtre de Guadeloupe à lieu en ce moment. Je joue tout à l'heure.
alors juste un petit coucou et plein de soleil dans la tête.

message : 23
Posté le : 16/11/2009 à 00:32, par : Christian
[France]  E-mail : hus-christian(a)orange.fr
Chantal m'avait ouvert la porte de votre Univers ..J'ai aimé ---

Vous reverrai-je ??

message : 22
Posté le : 11/05/2009 à 16:31, par : Evelyn HONORÉ
[France]  E-mail : evelyn.h(a)orange.fr
Nouvel opus de la compagnie « A fleur de mots », Le vol suspendu du vautour nous déroule une partition qui ne manque pas d'envergure !
Mythèse Morillon, l'auteure, nous livre ici l'un de ses postulats :
« L'homme n'est pas à vendre »
Credo empreint d'espoir, qui n'amollit en aucune façon le propos, incisif, mordant, déclinant l'ironie avec une heureuse subtilité.
Le verbe est tonique, musical et poétique et nous retrouvons avec bonheur cet humour, que nous avons appris à débusquer, tout au long de la pièce.
Humour qui réside non seulement dans l'écriture mais également dans le comique des situations, et qui apporte de véritables respirations dans le déroulement de l'intrigue.
Respiration et légèreté encore lorsque l'auteure nous invite à une incursion jubilatoire dans le domaine de l'absurde.
Toutefois, rien n'est semé au hasard dans l'univers de Mythèse Morillon, ni l'absurde, ni les symboles et les métaphores déposés comme autant de petits cailloux sur le sentier sinueux où elle nous mène.
Elle s'y entend à merveille pour nous projeter au cœur de son décor sobre et harmonieux.
Et puis, avec une séduisante maestria, elle pianote sur la gamme de nos émotions, elle distille le doute, elle déstabilise et d'un coup de théâtre nous voilà définitivement acquis à ses desseins.
Les quatre comédiens façonnent le texte et créent une belle unité.
Ils évoluent dans une mise en scène qui nous réserve des moments de pure poésie, telle la scène du piano entre Julien et Toiny, qui nous transporte hors du temps.
Gwenn de Coëtlogon signe une composition stupéfiante, bouleversante et drôle dans son rôle de SDF.
Diction, gestuelle, elle ne joue pas, elle est Toiny, dans l’attitude, dans le regard et. au plus profond de son âme.
Elle nous attire, nous émeut, nous interroge et nous dérange aussi !
Elle partage des scènes d’une intensité parfois douloureuse avec le machiavélique Julien très honorablement incarné par Gilles Debenat.
Du personnage de Dan, campé par Stéphane Barbin, notons les belles envolées de fureur et la justesse de ton et de celui de Sarah, interprété par Sandrine Monceau retenons la finesse du jeu, tout en nuances.
Cette création ne demande qu’à s’épanouir, il lui faut de l’espace ou plutôt des espaces et du temps pour aiguiser le jeu, patiner les personnages, en un mot il faut qu’elle vive !!!!

message : 21
Posté le : 01/05/2009 à 16:26, par : Marie Pierre
[France]
Une pièce merveilleusement bien écrite... une interprétation géniale… Bravo !

message : 20
Posté le : 01/05/2009 à 10:05, par : Robert
[France]
J'avais l'intention de déposer un message mais tant de choses viennent d'être dites... J'ajouterai seulement que si le sujet est grave, l'humour est très présent et qu'il émaille et éclaire cette pièce.

message : 19
Posté le : 30/04/2009 à 22:41, par : patrick Arduen
[Bretagne]  E-mail : patrick.arduen(a)wanadoo.fr
Le vol suspendu du vautour nous convie à une expérience de chimie organique : il s’agit d’observer un noyau stable, une cellule familiale composée d’un élément mâle et d’un élément femelle, évoluant dans un bocal.
On y introduit deux microbes exogènes parasites, l’un dégageant des ondes positives, l’autre des ondes négatives : que constate-t-on ? Une décomposition du noyau en deux atomes appauvris, dont l’un va toutefois donner naissance à un troisième atome sous l’effet d’une fécondation « in vivo » !
Mais ce regard « clinique » que nous offre Mythèse fait vite de nous des parties prenantes, car dans le bocal, on peut reconnaître des voisins, des proches, des amis, nous-mêmes peut-être !
En effet, les quatre personnages qui s’affrontent dans Le vol suspendu du vautour sont d’abord un couple, structure sociale de base : Dan et Sarah. Un couple très sympa, plutôt b.c.b.g., un couple modèle, vu dans les pubs télé, de jeunes cadres dynamiques, qui s’est engourdi dans la routine, dans les chamailleries et les frustrations de la vie à deux… il est mûr pour prêter le flanc à toutes les dérives… d’autant plus que le fruit attendu de leurs entrailles tarde à venir !
Alors quand il doit passer la Noël dans un face-à-face insipide, il est mûr pour inviter Toiny, la pauvresse, la SDF cabossée par une vie de galères, à venir égayer leur réveillon. Mais Julien, le voisin de palier, est un fieffé Don Juan à l’affût, un pianiste pervers, voyeur et manipulateur.
Le couple fragilisé va laisser ces deux parasites s’infiltrer en son sein. Toiny, maladroite mais dévouée et sincère, bouscule les conventions, les faux-semblants et ne tarde pas à mettre à nu les failles de leur union. Et Julien ne tarde pas à flairer la bonne affaire dans cette bourgeoisie, comme un charognard, et à s’emparer de Sarah, la proie affaiblie, pantelante…
Ce couple était, tout autant qu’un autre, viable, jouable, mais comment aurait-il pu résister aux coups de boutoir de cet envahisseur démoniaque, et de cette pauvresse angélique ?
Comme cette histoire ressemble à ces séparations douloureuses que nous connaissons, que nous vivons ! Et cette confrontation n’est-elle pas aussi une allégorie, celle de notre société embourgeoisée, démocratique certes, mais si faiblement prolifique, face aux défis du sous-développement qui frappe à nos portes, affamé, mal famé, et des dictatures cyniques, sans scrupules, qui nous menacent ?
Après avoir assisté à cette pièce de Mythèse, on a envie de commenter, de revoir le jeu subtil et attachant de cette « partie carrée », deux hommes et deux femmes, deux riches et deux pauvres, chacun avec sa personnalité, son charme, ses faiblesses…


Nb de page : 3
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© El konkonbré M@squed
A.I-Pifou, Livre d'or 1.9p2